© Yannick Ribrioux

Limité au nord-est par le Cher et au sud sud-est par un coteau qui s'élève en pente régulière à une centaine de mètres au dessus de la vallée, le site était propice à l'installation de l'homme.
La rivière permettait la pêche, le limon rendait la terre facilement cultivable dans la vallée et les coteaux couverts de forêts formaient un refuge pour le gibier, ou autres bêtes sauvages, tout en mettant le val à l'abri des vents dominants.
Les cinq ruisseaux encaissés dans le coteau calcaire et descendant du plateau vers le Cher ne sont sans doute pas étrangers au développement de diverses activités humaines.